Trop tard ! 
Je dis pas que je n’ai pas fait une connerie mais au moins il n’y a pas eu de drame.
Face à la culasse, le choix de l’alésoir a vraiment aidé : Grande entrée conique et profil de la denture. Les guides sont sortis polis sans aucune marque. Impossible de faire ce boulot avec un alésoir réglable.
Le contrôle du diamètre de l’alésoir était bien à 7.92 avec un ajustement glissant. Ca m’a un peu rassuré car j’avais peur des tolérances ou d’arracher trop de matière et de me retrouver avec un alésage hors cotes. Au final ca semble être plutôt l’inverse.
L’alésoir passait libre (glissant juste à libre) dans la plupart des guides mais il y en a 5 et plus particulièrement 3, dont un échappement, qui n’étaient clairement pas à la cote.
La queue de l’alésoir est à 7,925 et ne passe dans aucun guide ce qui est aussi bon signe.
L’étape qui ma parue la plus délicate est finalement la sortie de l’outil. Comme il ne traverse pas le guide, il faut engager la marche arrière sans ruiner le travail.
Et le dernier point c’est que les alésages repris restent “glissant serrés” du fait même que l’alésoir polisse plutôt que coupe la matière. Du coup on peut toujours s’interroger sur la cote atteinte… tout cela au 1/100 et sans expérience… c’est pas simple d’avoir des certitude. J’ai passé autant de temps à mesurer qu’à vérifier l’étalonnage du micromètre.
Bref, travail sympa mais délicat. Il y a un vrais risque d’être bon pour un jeu de guide et je n’ai pas encore confirmation d’avoir fait du bon travail
Inchallah !
JC, merci d’avoir calmé mes ardeurs, ca m’a aidé à la prudence.
a+
Fabien